Qu’es aquò ?
Le bondage est une pratique érotique qui consiste à attacher, ligoter, bref contraindre son ou sa partenaire. Le mot "bondage" vient du verbe anglais "bond", qui signifi "lier". L'action consiste à contraindre l'autre personne, totalement ou partiellement (cheville, poignet, jambes...).
Si l'imagerie populaire nous présente souvent des corps de femmes encordées de la tête au pieds, cette "discipline" ne se limite pas au vulgaire saucissonage, loin s'en faut...! Le bondage peut se pratiquer avec des cordes, des menottes, des chaînes, des foulard, des rouleaux latex...
Dans quel but me direz vous...? Et bien, tout dépend de la personne qui ligote et de celle qui se fait ligoter ! Et dans ce domaine tout le monde est différent. Les amateurs de soumission "soft" aiment le fait d'être à la merci de leur partenaire pour des actes sexuels revisitant ainsi les jeux de notre enfance (devenner Wendy accrocher au mat du capitain crochet...). Alors que d'autres y recherchent uniquement le plaisir de la contrainte, qui devient alors une fin en soi et ne neccessite aucun acte de pénétration (l'exitation passe par l'imaginaire et l'attente).
Même si cette pratique fait partie du "BDSM" (Bondage Domination Soumission Masochisme), il apparait que le bondage peut tout à fait se pratiquer en dehors de toute connotation SM. On peut tout à fait s'adonner au "plaisir d'attacher", sans pour autant vouloir humilier ou faire souffrir son ou sa partenaire. De même, il n'est pas neccessaire d'être d'un naturel soumis pour apprécier le fait d'être ligoté.
Mise en garde.... pffff
ATTENTION: Le bondage peut s'avérer dangereux, il est indispensable de respecter certaines régles élémentaires de sécurité:
Vous devez toujours avoir à portée de main une paire de ciseaux (de sécurité pas pointu) pour trancher la corde à la fin de la scéance si un noeud refusait de se défaire ou à n'importe quel moment de la scéance si votre partenaire se sentait mal ou en proie à l'angoisse. N'héssitez jamais à couper une corde en cas de doute, la santé de votre partenaire vaut toutes les cordes du monde.
Vous devez tout aussi impérativement prévoir un code entre vous et votre partenaire ligoté lui permettant de réclamer sa liberation immédiate. Un mot précis (ne choississez ni "non" ni "stop" certaines personnes aiment s'en servir lors des jeux pour pimenter le raport. Nous pouvons vous conseiller les feux tricolore: vert: accélere/continue , Orange: ralenti/doucement et rouge: on arrete tout DESUITE IMMEDIATEMENT) ou si un baillon l'empêche de parler, un geste que l'attaché pourra faire malgres le "ligotage" (lacher un objet des mains pour que le bruit soit immédiatement suivi par l'enlevement du baillon, le "déligotage", voir la coupure immédiate des liens ou ouvrir et fermer les mains...). Les signal sonore sont de loin les plus facile à percevoir au cours dune scéance et sont préférables au autres. Bien qu'il incombe au soumis d'user du mot de sécurité si le besoin s'en fait sentir, il est du devoir de celui qui tient la corde de veiller à son partenaire et de prendre lui même la décision de prononcer le mot et de délier rapidement le partenaire dès lors qu'il y a le moindre risque de blessure ou de traumatisme.
Vous ne devez JAMAIS laisser glisser un noeud. Dès qu'un noeud glisse de son emplacement initial et adéquat, il risque de devenir blessant ou dangereux.
LA REGLE ABSOLUE DE SECURITE:
3 zones ne doivent en aucune circonstance faire l'objet d'un serrage:
Le cou
L'aine
Les aiselles
C'est par là que passe le sang indispensable à l'irrigation du coeur!
Pour eviter l'effet de circulation coupée dans les membres, il est préferable de multiplier les passages de cordes autour des régions sensibles afin de répartir au maximum les forces de serrage.
Ne jamais retenir une personne qui demande à être libérée. Le bondage est un jeux érotique se déroulant au sein d'un couple dont les deux membres sont consentant et d'accord sur le déroulement et la finalité du jeu.
Il ne faut jamais laisser seule une personne de ligoté même quelques secondes (pour aller prendre un appareil photo ou chercher de l'eau, tout doit être prévue à l'avance).
Pensez également en plus de l'eau à une couverture ou un plaid, la température corporelle du sujet peut chuter rapidement et de manière importante pendant ou après le jeu.
Et la dernière mise en garde et pas la moindre, loin sans faut! Ne jamais causser de blessures physiques ou morales. Il ne faut pas serrer : le but est le plaisir, pas la douleur, le bondage est et doit rester un jeu
Sachez aussi que l'utilisation de drogues ou d'alcool peut perturber le jugement et accroître les risques.
Mode d'emploi:
Un peu d'histoire:
Dès l'antiquité, les Japonais entretinrent une liaison privilégiée avec les liens, puisque nous trouvons des représentations de noeuds et de cordes sur des poteries pour symboliser les relations entre le peuple et le monde des dieux. Mais le Shibari, ou l'art du ligotage érotique japonais, trouve sa véritable origine au cours du siècle de "l'age sombre", dit Sengoku, situé vers 1450, et n'a jamais disparu des moeurs sexuelles nippones jusqu’à nos jours!
A l'origine, les techniques de ligotage servaient aux soldats à la solde des Samouraïs pour l’immobilisation et la torture des prisonniers de guerre. Elles étaient aussi utilisées pour emprisonner les bandits de droit commun. Le Shibari pouvais également devenir un mode d'exécution capitale, puisque le Code pénal prévoyait plusieurs types de punitions publiques, dont une, la suspension, pouvait aller jusqu'à la mort du prisonnier.
Plus tard, le Shibari se transforma en un rituel martial, avant de devenir un mode de punition quasiment artistique lors de la période Edo (1600-1868). Un véritable code régissait la pratique de cet art : les cordes avaient des couleurs différentes suivant la période de l'année, le prisonnier était tourné vers un signe cardinal correspondant aux saisons... Au cours des siècles, les règles évoluèrent encore, permettant ainsi de connaitre la profession, le type de crime, et la position sociale de la victime. Des artiste laissèrent beaucoup d'oeuvres attestant de ses coutumes, comme le Maître Yoshitoshi (1839-1892). Toute la civilisation japonaise était alors basée sur le rituel : faire un bouquet de fleur, ceindre une tenue de combat, enfiler un kimono, boire le thé, sont des actes qui répondent à la fois à des règles ancestrales et à des critères esthétiques évident. Le théâtre répondant aux même lois, y compris dans le domaine de l'érotisme ; ainsi le théâtre Kabuki présentait des scènes de torture à caractère sexuel.
Il faut dire qu'a cette époque, le mariage d'amour n'existe pas, ou pratiquement. L'art du bondage permet à l'homme de ligoter sa femme et d'abuser d'elle sexuellement. On a même vu une représentation de femme enceinte attachée, pendue par les pieds et battue par son mari. Le bondage est alors une sorte de viol conjugal, et un élément punitif. Le peintre et photographe Itoh Seiyu a fait connaître au monde, par ses œuvres, le bondage.
Le ligotage aurait pu disparaître des traditions nippones avec l'occidentalisation du pays. Pourtant au milieu du XXème Siècle, un artiste, Ito Seiu (1882-1961), dynamisa le Sibari grâce à ses nombreuses estampes et à un illustre ouvrage intitulé " l'enfer des supplices", il vulgarisa l'art du ligotage. L'occupation américaine à la fin de la deuxième guerre mondiale a vu la prolifération de "bordels", les premiers nawashis ("artistes des cordes") officiant alors, créant même le Kitan club. Ils attachaient des prostituées, des femmes, réalisant des sortes de shows.
Toujours vers 1950, apparaît le premier magazine érotique japonais traitant de Shibari, le Kitan Club. S'ensuit une période dorée, au cours des années 1960-1970, avce la parution de magazines spécialisés, et surtout la création de films produits par le fameux Nikkatsu studio. Ces productions permirent de découvrir avec délectation la ravissante soumise Naomi Tani - qui apparaît ficelée dans "Wife to be sacrified", "Woman in a box", etc.
De nos jours, las Japonais pratique encore et toujours le Shibari, et si il existe des "Bondage parties" à ToKyo, organisées par de jeunes Japonais en cagoule de cuir et en combinaison de latex... Cela apparaît comme une mise au goût du jour de la pratique, mais dans le même temps, quelques irréductibles tel Chimuo Nureki, maître - "sensei" - de l'école classique organisent encore et toujours des scéances de bondage devant un public trié sur le volet!
Il est impossible de raconter l'histoire du ligotage sans évoquer la révolution des années 1990! La fin du XXème Siècle voit l'évolution du rôle de la femme dans la scène érotique japonaise; la dominatrice japonaise est née! Et non seulement, elle joue les maîtresses, mais de surcroît elle peut ligoter ! Que le Japonais accepte d'être ligoté par une femme est un petit tsunami dans la vie sociale nippone.
Le Japon n'a pas l'exclusivité de l'utilisation des cordes. Durant les années 1950, les Etats-Unis connaissent l'âge d'or de la photographie érotique avec l'avènement de Betty Page, starlette de l'imagerie fétichiste, et l'apparition dans les magazines de magnifique pin-up bondagées!
En Europe, enfin, le Sibari des années 2000 attire de plus en plus les artistes photographes, pour qui le ligotage tient plus de domaine de la sculpture ou de l'architecture corporelle..
Le bondage va sans doute devenir une pratique sexuelle appelée à se développer. C'est une pratique dans l'air du temps qui est fondée essentiellement sur la complicité entre les partenaires.
Avant de commencer:
Les liens:
Les liens sont l'intermédiaire le plus intime entre les deux acteurs. Et si les cordes sont souvent utilisé en bondage, il faut garder à l'esprit qu'il ne se limite pas à l'utilisation de corde! Il existe en effet de nombreuses alternatives toutes aussi efficaces et excitantes. Ainsi vous pourrez vous servir de bracelet en cuit, d'écharpe de soi, de cravates, de drap déchiré en longue bandes....
De nombreuse matière de cordes peuvent être utilisés pour le bondage.
Il y a les cordes en nylon (polyurétane): Qui sont facile à trouver dans les magasins de bricolage, de sport ou d'article pour la montagne. Peu onéreuse, de différentes couleurs, elle permettent de désigner de belles volutes et de faire de beaux noeuds qui s’avèrent plutôt facile à défaire la séance finie. Lavable elles s'adoucissent et deviennent très agréable a manipuler après plusieurs lavages. Pensez a stopper l'extrémité de la corde en brûlant le bout.
Les cordes en coton: Elles sont particulièrement agréables aux touchés, et douces au glissement sur la peau. Facile à trouver, elles restent plus chère que celle en nylon à l'achat. Lavables en machine, il faut penser a protéger l'extrémité du bout qui ne peut être brûler par un ruban adhésif qui viendra comme pour un lacet éviter que la corde ne s'effiloche. Leurs succès dans le bondage viens du fait qu'elle sont légèrement étirables, cette élasticité plait beaucoup aux débutants qui la trouvent rassurante. Le mou ainsi obtenu offre confort a l'attaché. Cependant, il faut savoir que les cordes en coton sont bien plus fragiles à l'usure que les autres et parfois difficile à délier.
Les cordes en chanvres: Plébiscité par certains puristes, elles piquent, brûle la peau, et sont très difficile à dénouer. Afin de réduire ces inconvénients, il est possible de traiter les cordes en chanvres qui nécessite un procédé long et donc onéreux pour les rendre plus souples et confortables. Très difficile a trouver, elles sont également les plus chères des cordes de bondage, mais visuellement très intéressante et de très longue tenue dans le temps qui peut justifier leurs investissements. Tout comme les cordes en coton, il n'est pas possible de brûler le bout, vous devrez la aussi arrêter la corde à l'aide de ruban adhésif.
La taille et la largueur des cordes dépend de la figures souhaitez et du goût de chacun. Une fois votre choix de matière fait, il vous faudra vous procurer différents bouts de longueur différents. Les largueurs recommandé pour un premier temps sont entre 8 et 10mm. D'une longueur d'environ 5 mètres pour les membres et entre 15 et 18 mètres pour un bondage entier. Dans la tradition, la longueur d'une corde doit être de trois fois et demie l'envergure du bondageur. Chez les Japonais, gens de petite taille, on arrive à des cordes de sept mètres. En Occident, on arrive à des longueurs entre huit et neuf mètres de long.
Avec l'expérience vous verrez que la longueur des cordes à utilisé dépends de la corpulence du sujet. Il est intéressant de disposer de trois longueurs différentes qui sont chacune, le double de la longueur de la corde précédente: 4,5 mètres (appelée petite corde dans les exemple), 9 mètres (appelée corde moyenne dans les exemple) et 18 mètres (appelée grande corde dans les exemple) par exemple.
N'oubliez pas tout de même qu'en bondage, il est préférable d'avoir trop de corde, que pas assez. Et sachez qu'il est très important d'entretenir ces cordes en les rangeant soigneusement et en vérifiant qu'aucun corps étranger n'est venu se fixer à votre corde (ni objet, ni sable...)
La durée:
Le bondage est l'art d'attacher son partenaire mais également de le détacher!
Si nombre d'amateurs de bondage aiment prendre leur temps pour appliquer les cordes et ligoter leurs partenaires, profitant ainsi de chaque nouveau noeud, chaque nouvelle entrave pour faire monter leur plaisir au fur et à mesure que que les mouvement de l'attaché diminue. Pour d'autre, l'application des liens doit être simple, rapide et efficace. Que vous soyez lent ou rapide sachez que les douleurs sont provoqués par l'engourdissement d'un membre trop longtemps maintenu ou par une brûlure d'une corde passée trop raidement entre autre. Il vous faudra dons trouver le juste équilibre pour votre timming. Pour le début essayer de ne pas dépasser une temps de mise en place de plus de 15 minutes, prévoyez ensuite le temps nécessaire pour caresser votre attaché, prendre des photos... puis vous devez être capable de la détacher en moins de 5 minutes. Avec l'expérience et la résistance de la personne attaché ainsi que la contrainte de la position, vous adapterez de vous même la durée de la séance. L'essentiel étant la communication entre vous.
Certaines positions ou les membres se trouvent immobilisés au-dessus du niveau de la tête ou du tronc, la question n'est pas de savoir si il va y avoir engourdissement et séquelle mais plutôt de savoir quand cela va arriver. Pensez donc à bien surveiller la couleur de la peau et la température des parties surélevées.
Le lieu:
Le bondage, même à orientation sexuelle, n'est absolument pas limité au cadres d'un lit mais c'est un endroit qui s'y prête à merveille, notamment si vous avez la chance d'avoir une couche dotée d'une tête en et d'un pied de lit offrant de très nombreux points d'ancrage, comme un lit en fer forgé par exemple. Si ce n'est pas le cas, vous n'avez pas tout perdu car les quatre pieds du lit ou les lattes du sommier peuvent vous servir de point d'encrage. Pour les chanceux possédant un lit à baldaquin vous pouvez même vous permettre d'exécuter des suspensions partielles. Il vaut cependant mieux tester la charge possible de celui ci avant de commencer. Pour ceux qui ne possède rien de tout cela, vous pouvez créer des points d'encrages en en attachant une corde aux deux pieds du lit et en la tendant bien.
Le plaisir:
Il y a de nombreuses manières d'éprouver du plaisir à être immobilisé par des cordes. Elles sont toutes éminement cérébrales.
Le plaisir de l'attaché:
Il peut passer uniquement dans l'immobilité et la passivité qui permet d'entrer dans un état méditatif intense. Seul et immobile au sein d'un monde agité.
Il peut également trouver ses racines dans le sentiment de honte, lié à une exhibition "forcée", une humiliation sévère, voire à une peur qui peux suffire à provoquer chez certains masochiste une vive montée de plaisir...
Enfin et plus généralement, il viens de la "perte" d'un sens, en effet en interdisant le moindre geste, on ouvre son corps à un nouveau monde de réceptivité aux sensations. Il est également plus facile pour certains de s’abandonner, de se laisser aller, et d'accéder ainsi à un orgasme plus profond quand vous êtes soumis totalement aux désir de l'autre... 'est parfois très agréable de ne plus avoir de décision à prendre et de n'avoir qu'à se "concentrer" sur son propre plaisir. La soumission réelle ou simulée au désir de l'autre lève les inhibitions, atténue le sentiment de culpabilité des individus à l'éducation trop stricte cultivant la honte sexuelle. On peut ainsi jouir sans se sentir responsable des sensations éprouvées.
le plaisir de l'attachant:
Il est tout aussi multiple. Il passe soit par le plaisir de commander, de manipuler le corps et l'esprit de l'attaché en dirigeant son orgasme. Cette soumission évite a l’attachant de se sentir obligé de prouver sa virilité. En immobilisant l'autre, on le prive de la plus infime parcelle de pouvoir.
Mais il passe aussi par un plaisir intense de satisfactions esthétiques, l'acte artistique, le plaisir de transformer l'autre en un objet, une oeuvre d'art conçue et crée par ses soins.
Il passe généralement aussi par la jouissance que procure la marque de confiance absolue que l'attaché offre à l'attacheur en lui confiant son corps et son plaisir.
Il peut aussi être rassurant d'entraver un partenaire physiquement robuste: certaines femmes se sentent plus sereine avec un homme entravé.
La douleur et les blessures:
Si le but du bondage n'est pas de faire mal, il faut être conscient qu'être ligoté par une immobilisation forcée entraîne des douleurs inattendues et subtiles.
ATTENTION! Plus le temps passe plus les liens sont douloureux!
Il vous faut être vigilant et guetter les signes avant coureur, que ce soit le changement de couleur de la peau, le gonflement, les picotements, la baisse de température du corps, une insensibilité localisé, une sensation de brûlure intense et parfois soudaine(qui est généralement le signe avant coureur de dommages nerveux important)...
Pour limiter la douleur, attachez vous à une tension égale des brins, évitez les chevauchements et les torsions des cordes. Prenez soin également d'enrouler plusieurs fois la corde (de faire plusieurs passage sur la peau) autour de chaque membre pour repartir une une plus grande surface le contact entre la corde et la peau, ce qui permet de diminuer fortement la pression et la coupure de sang que l'attache provoque. Une dernière règle importante, assurez vous de pouvoir passer un de vos doigts entre la cordes et la peau afin de vous assurer que le lien ne soit pas trop serré.
Vous avez bien lu toutes les mises en garde, vous devez maintenant vous assurer une dernière fois que votre partenaire est consentant(e) et que vous êtes tous en pleine forme.
La séance:
Apprendre les noeuds:
Le but de cet article n'étant pas de faire de vous des as du bondage, seulement trois noeuds élémentaires différents vont être expliqué mais rassurer vous il y aura déjà de quoi faire!
Le noeud Simple: Il s'agit du plus simple des noeud, celui dont on se sert pour lacer ses chaussures.
Le noeud Plat: Ce noeud est composé de deux noeuds simples superposés.
Le noeud en tête d'alouette: Ce noeud est utilisé dans l'univers du bondage de deux manières. C'est, d'une part, le noeud que l'on utilise pour commencer la plupart des ligotages et, d'autre part, le noeud qui sert à verrouiller le bondage de telle sorte que le liens ne puisse se serrer davantage lorsque des tentions supplémentaires sont appliquées.
Le noeud en tête d'alouette pour finir un bondage:
1: Passer la corde sous l'ensemble des liens pour faire une boucle. 2: Passer dans la boucle. 3: Serrer.
1: Passer la corde sous l'ensemble des liens pour faire une boucle. 2: Passer dans la boucle. 3: Serrer.
Se servir des noeuds: Voici quelques exercices pour vous initiez à l'art du bondage, si vous souhaitez plus d'exemples, je vous recommande le magnifique livre de Chanta Rose intitulé "Le bondage Erotique" au édition Tabou, ou encore Osez le bongage (qui explique des bondages d' un corps entier mais qui me parait techniquement beaucoup moins accessible).
EXERCICE N°1:
Une des manières la plus simple d'aborder les jeux de cordes est sans doute de commencer par attacher les poignet et les cheville en position écarté sur le lit. C'est une position extrement confortable pour l'attaché qui offre de réelle perspectives pour les préliminaire mais est assez limitative pour le coït.
1. Placer l'attaché sue le dos, bien au centre du lit, et choisissez un de ses poignets.
2. Choisissez une corde de longueur moyenne ou courte et pliez-la en deux. Placer la boucle ainsi formée au milieu de la base du poignet et faite passer la corde dans la boucle. Assurez vous de pouvoir passer un de vos doigts entre la corde et le poignet afin de vous assurer que le lien n'est pas trop serré. (A)
3. Nous allons créer une tension inversée. Enroulez deux fois la corde en sens inverse autour du poignet (b) et repassez-la dans le brin de tension inversée.
4. Passez ensuite la corde sous la ligature que vous venez de réaliser et faites à nouveau une boucle (C) à travers laquelle vous passerez l'extrémité libre de la corde (D). Cette dernière manoeuvre crée alors un noeud en tête d'alouette (E) qui aura pour effet de terminer de manière efficace le lien. Cette finition empêche la ligature de se resserrer contre le poignet lorsqu'on l'attachera aux montant du lit.
5. S'il ne vous reste pas une longueur de corde suffisante pour rejoindre la tête de lit (F) ou les pieds du lit, ajoutez tout simplement une longueur de corde. Assurez vous que le support est solide avant de fixer la corde à celui-ci. Terminer votre bondage par un noeud plat, des plus simples.
6. Répétez la même opération pour l'autre poignet ainsi que pour les deux chevilles. Ainsi, les quatre membres devraient être maintenus aux quatre coins du lit.
Points importants: Cette position inflige une tension, ou une traction, aux mains et aux chevilles. En général, la plupart des bondages ne s'appliquent pas aux mains ou aux chevilles mais plutôt aux avant-bras et aux mollets. Ils ont ainsi une moins grande propension à bloquer la circulation sanguine, provoquant les engourdissements. L'attacheur devra donc bien surveiller l'évolution de la situation en vérifiant régulièrement la température des extrémités afin de repérer aussitôt que possible toute toutes chute de celle-ci ou tout changement de couleur. Il devra aussi s'assurer de bien pouvoir passer un un doigt entre les cordes et le corps et veillez à ce que les noeuds ne viennent pas exercer des presions sur les os des chevilles ou des tendons des poignets. Le noeud devrait venir se placer au niveau de la base de la paume et la corde devrait permettre a l'attaché de s'en servir comme prise dans ses élans passionnels.
2. Enroulez ensuite la corde sous le milieu de la plante du pied (A) et créez une tension inversée.
3. Refaites un tour en passant par-dessus le pied et passez le bout à travers la boucle créée à l'endroit de la tension inversée.
4. Passez la corde sous l'ensemble des couches de cordes, formez une boucle (B) et terminez par un noeud en tête d'alouette (C).
5. Tirez alors le reste de la corde pour assurer correctement votre bondage avant d'attacher l'extrémité libre de la corde soit au pied du lit supérieur du lit (D), soit au sommier, entre deux lattes. Notez qu'il s'agit d'une traction latérale plutôt que d'une traction purement arrière.
6. Recommencer la procédure avec l'autre cheville.
2. Choisissez une corde de longueur moyenne ou courte et pliez-la en deux. Placer la boucle ainsi formée au milieu de la base du poignet et faite passer la corde dans la boucle. Assurez vous de pouvoir passer un de vos doigts entre la corde et le poignet afin de vous assurer que le lien n'est pas trop serré. (A)
3. Nous allons créer une tension inversée. Enroulez deux fois la corde en sens inverse autour du poignet (b) et repassez-la dans le brin de tension inversée.
4. Passez ensuite la corde sous la ligature que vous venez de réaliser et faites à nouveau une boucle (C) à travers laquelle vous passerez l'extrémité libre de la corde (D). Cette dernière manoeuvre crée alors un noeud en tête d'alouette (E) qui aura pour effet de terminer de manière efficace le lien. Cette finition empêche la ligature de se resserrer contre le poignet lorsqu'on l'attachera aux montant du lit.
5. S'il ne vous reste pas une longueur de corde suffisante pour rejoindre la tête de lit (F) ou les pieds du lit, ajoutez tout simplement une longueur de corde. Assurez vous que le support est solide avant de fixer la corde à celui-ci. Terminer votre bondage par un noeud plat, des plus simples.
6. Répétez la même opération pour l'autre poignet ainsi que pour les deux chevilles. Ainsi, les quatre membres devraient être maintenus aux quatre coins du lit.
Points importants: Cette position inflige une tension, ou une traction, aux mains et aux chevilles. En général, la plupart des bondages ne s'appliquent pas aux mains ou aux chevilles mais plutôt aux avant-bras et aux mollets. Ils ont ainsi une moins grande propension à bloquer la circulation sanguine, provoquant les engourdissements. L'attacheur devra donc bien surveiller l'évolution de la situation en vérifiant régulièrement la température des extrémités afin de repérer aussitôt que possible toute toutes chute de celle-ci ou tout changement de couleur. Il devra aussi s'assurer de bien pouvoir passer un un doigt entre les cordes et le corps et veillez à ce que les noeuds ne viennent pas exercer des presions sur les os des chevilles ou des tendons des poignets. Le noeud devrait venir se placer au niveau de la base de la paume et la corde devrait permettre a l'attaché de s'en servir comme prise dans ses élans passionnels.
EXERCICE N°2:
1. Pour répartir la traction et améliorer le confort, nous allons exécuter un "harnais de pied". Pour cela , en repartant de la position précédente, détachez la corde de son point d'ancrage en laissant le bondage sur la cheville.
2. Enroulez ensuite la corde sous le milieu de la plante du pied (A) et créez une tension inversée.
3. Refaites un tour en passant par-dessus le pied et passez le bout à travers la boucle créée à l'endroit de la tension inversée.
4. Passez la corde sous l'ensemble des couches de cordes, formez une boucle (B) et terminez par un noeud en tête d'alouette (C).
5. Tirez alors le reste de la corde pour assurer correctement votre bondage avant d'attacher l'extrémité libre de la corde soit au pied du lit supérieur du lit (D), soit au sommier, entre deux lattes. Notez qu'il s'agit d'une traction latérale plutôt que d'une traction purement arrière.
6. Recommencer la procédure avec l'autre cheville.
EXERCICE N°3:
La position du Crabe qui vous est présenté ici peux se faire soit comme indiquée, c'est a dire les bras à l'intérieur des jambes, soit à l'extérieur. C'est une des position les plus polyvalentes pour le rapport sexuel (plaisir bucco-génital, pénétration anales ou vaginale et ce en position de levrette , de missionnaire ou en cuillère...)
Pour facilité la réalisation de ce bondage, il est préférable que l'attaché s’asseye, sur le lit ou le sol, et se penche vers l'avant de manière à venir placer ses poignets au niveau de ses chevilles.
1. Choisissez une cordemoyenne, et trouvez-en le milieu. Cerclez l'ensemble avant-bras/mollet en veillant bien à ce que la boucle vienne se placer entre les membrees (A).
2. Enrouler alors la corde deux fois autour des membres en tension inversée et passez le reste du lien dans la boucle inverse originale (B).
3. Sanglez le bondage en passant une boucle (C) entre l'avant-bras et le mollet, côté genou. Terminez cette première phase de bondage par un nœud en tête d'alouette en passant la corde dans la boucle.
4. Remontez vers le genou et faites le tour de l'ensemble mollet/avant-bras, sous le genou. Passez dans la boucle (D) pour réaliser la tension inverse.
5. Faite autant de tours que désiré en prenant soin de bien respecter le principe de la tension inversée. Verrouillez le bondage au moyen d'un nœud en tête d'alouette (E).
6. Sanglez à nouveau votre bondage en passant une boucle entre les membres. Assurez-vous de placer le nœud hors de portée de la bouche ou de l'autre main pour éviter toute tentative de libération. Répéter l'opération sur l'autre côté (F).
Lorsque le bondage du Crabe est fait de manière un peu lâche ou manquant de rigueur, cette position offre de grandes possibilités d’échappatoire. Afin de l'éviter, accorder une attention toute particulière aux endroits où vous placez les nœuds afin qu'ils ne puissent pas être défais par le sujet que ce soit avec les mains ou la bouche.
EXERCICE N°4:
1. Demandez au l'attaché de joindre ses deux poignets. A l'aide d'une corde moyenne, entourez-les et passez la corde dans la boucle pour créer une tension inverse (A). Effectuez de deux à quatre tours (B)...
2. ... et passez la corde dans la première boucle inverse (C). Créez une boucle et sanglez les cordes entre les poignets par un nœud en tête d'alouette (D).
Points importants: Si vous optez pour une suspension des membres, comme pour tous bondage où les membres se trouvent immobilisés au-dessus du niveau de la tête ou du tronc, vous devez veiller attentivement à l'apparition d'engourdissements ou de changement de coloration des mains.
Vous pouvez utilisez pratiquement la même technique pour attacher les chevilles et optez ainsi pour une pénétration jambes serrées. Choisissez une corde moyenne et trouvez en le milieu. Collez les chevilles et faites un premier tour (A). Enroulez trois fois la corde autour de celles-ci et repassez la corde au travers de la boucle inverse d'origine (B). Sanglez l'ensemble et terminez par un nœud en tête d'alouette (C).
EXERCICE N°5:
Voici une façon de ligoter les poignets qui a pour avantage de permettre à l'attaché une position plus confortable en gérant son équilibre, notamment si vous décidez de relever les jambes de l'attaché au cours de la séance de bondage, qui pourra alors retenir son poids en s'aidant de ses bras.
1. Munissez-vous d'une corde moyenne que vous pliez en deux et demandez à l'attaché de placer ses mains à la naissance de ses fesses.
2. Placez alors la boucle fermée par la corde au dessus de la raie des fesses, à hauteur de ses poignets, et entourez la corde deux fois autour de sa taille en capturant les poignets (A). Repassez les extrémités libres au travers de la boucle inverse original. Attention:
3. A l'aide d'un nœud en tête d'alouette de manière à ce que les cordes ne puissent pas se serrer d'avantage. Le reste du bondage se fera en utilisant chaque brin séparément (B).
4. Sanglez plusieurs fois les poignets avec chaque bout de la corde (C) avant de terminer, en revenant à la première boucle, par un nœud plat (D).
Points importants: Des cordes trop serrés autour de la taille peuvent provoquer des vertiges et des nausées. Le bondage des mains ayant été conçu pour que les bras supportent le poids du corps, les mains se voient infliger une pression importante aussi, surveillez de très près tout signe avant coureur de problèmes de circulation sanguine.
2. Placez alors la boucle fermée par la corde au dessus de la raie des fesses, à hauteur de ses poignets, et entourez la corde deux fois autour de sa taille en capturant les poignets (A). Repassez les extrémités libres au travers de la boucle inverse original. Attention:
3. A l'aide d'un nœud en tête d'alouette de manière à ce que les cordes ne puissent pas se serrer d'avantage. Le reste du bondage se fera en utilisant chaque brin séparément (B).
4. Sanglez plusieurs fois les poignets avec chaque bout de la corde (C) avant de terminer, en revenant à la première boucle, par un nœud plat (D).
Points importants: Des cordes trop serrés autour de la taille peuvent provoquer des vertiges et des nausées. Le bondage des mains ayant été conçu pour que les bras supportent le poids du corps, les mains se voient infliger une pression importante aussi, surveillez de très près tout signe avant coureur de problèmes de circulation sanguine.
EXERCICE N°6:
Ce bondage nécessite un lit offrant une tête de lit avec de nombreux point d'encrage. Nous avons opté pour ne pas attacher les jambes, ce qui fais que l'attaché peut se débattre mais en aucun cas se relever.
Si vous ne bénéficiez pas d'un lit présentant ces caractéristiques,
vous pouvez néanmoins faire l’acquisition d'une perche (le bambou est
très tendance) facilement dans les grandes surfaces de bricolage ou de jardinage. Sélectionnez une perche d'un diamètre nécessaire à la résistance.
Cette position est parfaite pour des rapport oraux mais aussi pour donner un plaisir sans fin à une femme à l'aide d'un vibromasseur puissant placé sur son clitoris.
1. Demandez a l'attaché de s'agenouiller, dos à la tête de lit. Munissez-vous d'une corde moyenne et trouvez en le milleu.
2. Effectuez un noeud en tête d'alouette sur le côté de la tête de lit et passez la corde par dessus le poignet. Enroulez deux fois la corde autours du poignet afin de générer une tension inversée (A).
3. Sanglez le bondage du poignet (B) à l'aide d'un nœud en tête d'alouette (C) et déployez la corde vers le coude. Recommencez la même opération à la base du coude (D).
4. Déployez la corde vers le haut du bras et répétez l'opération (E). Vous pouvez choisi de sangler ou non le bras, proche de l'aisselle. Si vous avez tendance à serrer un peu trop fort vos lien, je vous recommande de ne pas sangler l'aisselle.
5. Assurez-vous de placer le nœud final derrière la tête de lit loin de la bouche de l'attaché. Recommencez les opérations sur l'autre bras.
Points importants: L'aisselle fais partie des zones à risque, lors de ce bondage vous devez être particulièrement vigilant à maintenir le bras sans comprimer cette zone. Il faudra veiller aux signes habituels de danger (fourmillement, changement de couleurs...)
C'est en maintenant une communication tout au long du jeu que vous saurez quand la séance prend fin (généralement après que les deux partenaires et goûtés au moins une fois a l'orgasme) mais il peux arriver qu'une séance soit interrompue pour rétablir une circulation sanguine ou calmer une crampe.
Les séances de bondage sont des activités intenses qui nécessitent un retour au calme. L'enlèvement des cordes peut être une opération des plus sensuelle et être réalisé très sensuellement, cependant tout les attachés n'apprécies pas les choses de la même façon et certains préfèrent être détachés le plus rapidement possible après la séance. C'est encore une fois en communiquant que vous saurez les préférences de votre partenaires. N'oubliez pas qu'il ne dois jamais il y avoir de place pour l’égoïsme dans une séance de bondage, au contraire, il est recommandé de considérer la situation comme une chance de montrer le respect et la confiance que vous avez l'un envers l'autre.
Détacher rapidement son partenaire ne veux pas dire sans faire attention! Il faut prendre garde à ne pas brûler la peau (brûlure qui peuvent être sévères) avec les liens. Retirer rapidement les cordes si cela est nécessaire mais sans jamais faire frotter celles ci contre la peau.
Les blessures:
En cas de blessure réelles ou supposée, il faut s'en occuper immédiatement. Les brûlures et les problèmes de circulation sanguine sont des problèmes fréquents mais qui doivent être immédiatement pris en considération parce qu'ils peuvent très vite dégénérer en infections ou séquelles nerveuses.
Retour au calme:
Après la poussé d'adrénaline que produit le bondage et les rapports sexuels, le corps peux ressentir une fatigue intense et il est important de "recharger la batterie" en refaisant le plein d'eau et d'énergie. Évitez les sodas sucrés qui n'hydratent pas beaucoup préférez un bon thé par exemple. Certains peuvent apprécier de grignoter (biscuit, gâteaux, sandwichs...) ou de se faire masser, tout cela permet de requinquer les corps.
Après un pic d'adrénaline la température du corps peut diminuer et une sensation de froid apparaître. Ayez sous la main une couverture ou un plaid à offrir a votre partenaire.
Prenez garde à ce que l'attaché ne se relève pas trop vite, ainsi lorsque vous prévoyez le temps pour un bondage vous devez inclure le temps de repos.
Enfin si il y a un temps pour la réflexion silencieuse, il y a aussi un temps pour parler de ce qui vient de se passer. Si la conversation ne peux pas avoir lieu immédiatement après l'acte, assurez-vous de lui donner une place dans les deux jours.
Hors garantie :
Souvent lorsque l'on désire pimenter sa vie sexuelle, l'obstacle le plus important à surmonter est la conversation avec son partenaire, que l'on se connaissent depuis la veille ou depuis des dizaines d'années, que l'on soit amant, copain ou conjoint. Lorsque l'on désire introduire le bondage dans son couple, il faut être prêt à en parler longuement, à répondre à de très nombreuses questions et rassurer sans cesse, et ce, qu'elle que soit la place à laquelle on se destine.
Il est primordial de bien faire comprendre le distinguo entre la violence sexuelle et le simple fait d'être attachée qui sont deux choses bien différentes. L'attaché ne souhaite pas être brutalisé ou inférieur à l'autre, bien au contraire, l'expérience du bondage doit se faire dans le plus grand respect et la plus grande confiance pour être vécue a fond. Pour ce faire, il faudra expliquer (longuement) pourquoi vous souhaitez faire cette expérience et ce qui vous a amené à cette envie la, rassurez votre partenaire, dites lui ce que signifie le bondage pour vous (par exemple: un orgasme forcé et un peu égoïste) et surtout se qu'il ne signifie pas (par exemple: Un manque de respect ou de profiter pour me faire ce que je n'ai jamais accepté).
Sachez qu'il est préférable de choisir un endroit serein ou vous vous sentez tous deux en confiance pour aborder ce sujet et qu'il est tout particulièrement déconseiller d'espérer faire une séance de suite après cette discussion si vous ne souhaitez pas être traiter de fou et de malade et traumatiser votre partenaire.
Commencez soft...La technique du bondage s'apprend petit à petit, inutile d'essayer de retenir 36 noeuds différents. Apprenez déjà à maîtriser ce qui vous ont été présenté ici. Il est également conseillé de ne pas commencer par un bondage du corps entier mais par une partie (comme les exemples ci-dessus).
Sachez qu'il est préférable de choisir un endroit serein ou vous vous sentez tous deux en confiance pour aborder ce sujet et qu'il est tout particulièrement déconseiller d'espérer faire une séance de suite après cette discussion si vous ne souhaitez pas être traiter de fou et de malade et traumatiser votre partenaire.
Commencez soft...La technique du bondage s'apprend petit à petit, inutile d'essayer de retenir 36 noeuds différents. Apprenez déjà à maîtriser ce qui vous ont été présenté ici. Il est également conseillé de ne pas commencer par un bondage du corps entier mais par une partie (comme les exemples ci-dessus).
CÉLIBATAIRE:
Si il est bien évidement impossible de se bonder tout seul, rien ne vous empêche de prendre des cours pour maîtriser ces techniques, ou de devenir modèles pour goûter au joie d'être attaché. Attention cependant au sérieux des personnes chez qui vous allez.