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Les fesses de Lola (Hétéro)

Il était tard, d’ailleurs il faisait nuit… Je finissais de regretter d’être sortie si tard… Enfin il faisait chaud mais on n’y voyait presque pas… Je ne saurais dire ce qui m’était passé par la tête mais j’avais besoin de prendre l’air après la journée merdique que j’avais passée… J’aurais aimé me défouler mais je ne vois pas très bien contre qui j’aurais pu pester car je vis seule… Il y a bien un autre moyen mais il faut être deux… Il y a bien des jeux solitaires mais encore faudrait t’il être dans l’ambiance et ce n’était pas mon cas… Si je voulais me changer les idées de cette façon, il me faudrait de l’aide !

Enfin me voilà dehors, marchant tout en me plaignant à moi-même et m’apprêtant à tourner dans ma rue alors qu’une voiture s’arrête à ma hauteur… J’entends la vitre se baisser mais je n’ose me retourner de peur de tomber sur un psychopathe ou un truc du genre… Je feins n’avoir rien remarqué et maintiens ma trajectoire : je n’étais plus très loin de mon immeuble…J’entends alors une voix... Celle-ci m’est familière alors je me retourne et reconnaît immédiatement la personne à qui elle appartient…


« Pierre ??? Eh bien, je ne m’attendais pas à te croiser ici à pareille heure… Comment vas-tu ?
- Très bien ! Pour tout te dire j’ai passé la soirée chez des amis et comme nous n’avons pas vu l’heure passer… Mais toi, que fais-tu dehors à cette heure-ci ? Tu sais qu’il est presque une heure du matin ?
-
- Je prends l’air, je marche sans but précis… J’étais sur le chemin du retour…
-
- Oh… bien… Je suis content de t’avoir revue…. Cela me fait plaisir !
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- A moi aussi… »


Pierre et moi étions mal à l’aise… Il était bien évident que nous ne nous attendions pas à nous rencontrer en de pareilles circonstances mais il y avait autre chose… Quelques mois auparavant, Pierre et moi avions entretenu une relation très passionnée mais pour des raisons floues nous avions dû y mettre un terme… Peut-être que nous n’étions pas prêts… Enfin je ne sais plus très bien… Pour ma part, mon malaise venait du fait qu’il m’attirait toujours autant… Il avait toujours su me combler, tant mentalement que physiquement… Alors j’ai soudain eu envie de l’inviter à boire un café… Le problème étant de savoir s’il allait accepter ou pas, car en cet instant précis, un refus m’aurait simplement achevée ! Mais il avait l’air d’attendre quelque chose car malgré le fait que nous étions en train de nous dire au revoir, sa voiture de démarrait toujours pas…, alors j’ai tenté le coup :


« Euh, tu sais, je suis presque à la maison et je ne comptais pas me coucher tout de suite... Donc… Euh… Peut-être qu’un café te tenterait ?
- Je ne voudrais surtout pas m’imposer mais cette proposition est alléchante, surtout que je crois me souvenir que tu fais d’excellents cappuccinos…
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- Super ! Allons-y alors… »


J’étais très contente qu’il accepte ma proposition… Aussi longtemps que je me souvienne, il avait toujours été d’excellente compagnie…Alors que nous montions les escaliers pour atteindre le premier étage, le fait qu’il soit sur mes talons fit remonter les souvenirs du voyage que nous avions fait à Cannes… C’est comme ça que tout avait commencé, en montant un escalier pour rejoindre la chambre que nous avions prise pour la nuit… Après cet escalier, nous avions fait l’amour pour la première fois… NON !!! Je ne dois pas penser à ça car ce n’est pas la raison pour laquelle je l’ai invité… Enfin pas consciemment en tout cas…

Alors que les cappuccinos étaient servis, nous bavardions et riions de bon cœur ??? Que ce bien-être m’avait manqué… J’étais si bien en sa compagnie… J’avais oublié ce sentiment et je me rendais compte à quel point le fait d’être constamment en colère ou triste pouvait être fatiguant…

Il y eut alors un regard très gênant… Nos yeux s’étaient croisés et avaient du mal à se défaire l’un de l’autre… Il s’approcha alors de moi pour m’arracher un baiser… Mon corps fut totalement électrisé et réagit instinctivement, lui rendant le baiser qu’il venait de me donner… Mes mains passaient et repassaient dans ses cheveux alors que les siennes se mouvaient dans mon dos… Je ne voulais pas que cela s’arrête…


« Cela m’avait trop manqué… Tu m’avais trop manqué… Quand je t’ai vu marcher dans la rue, je croyais rêver…
- Ne me laisse plus alors…
-
- Je ne te laisserais plus… et tu sais quoi ?
-
- Non, dis-moi…
-
- J’ai envie de toi… »


Il m’avait susurré cette dernière phrase au creux de l’oreille… J’ai dû fermer les yeux pour contenir le gémissement qui voulait à tout prix sortir de ma bouche… J’en mouillais d’excitation mais je ne lui répondis pas… Et je ne sais d’ailleurs pas pourquoi… J’avais envie de lui arracher ses vêtements poussée par mes instincts primaires contre lesquels je luttais de toutes mes forces… Nous nous sommes alors séparés à contre cœur d’ailleurs… Mais il était toujours aussi proche de moi car je sentais encore son souffle saccadé et chaud sur ma peau… Je voulais replonger vers ses magnifiques lèvres mais il ne fallait pas… Pas tout de suite, pas comme ça ! Nous allions reproduire les mêmes erreurs… Il fallait absolument calmer le jeu…


« Je vais débarrasser la table et faire la vaisselle…
- Je peux t’accompagner ? T’aider ?
-
- Non ça ira… Je n’en ai pas pour longtemps mais merci quand même… »
-


J’avais les idées complètement brouillées… Je devais m’isoler pour réfléchir un peu à ce qui allait probablement se passer… Quelles en seraient les conséquences si je me laisser trop aller ? Regretterais-je ? Impossible ! Serais-je capable de lui résister ? Peu probable…

Perdue dans mes pensées, je me rendis compte que cela faisait déjà la troisième fois que je lavais la même tasse… Je mis un coup d’accélérateur quand je sentis un souffle dans ma nuque, puis des mains sur mes hanches…


« J’en avais marre d’attendre… J’ai toujours très envie de toi… Pas toi ?
- Si, mais…
-
- Tu veux que j’arrête ?
-
- Non n’arrête pas… N’arrête jamais… »


Mon choix était fait… Le simple fait d’imaginer l’éventualité qu’il s’arrête écrasa le peu de volonté que j’avais au départ, car sentir son corps contre le mien et son souffle dans mon cou m’emporta dans un tourbillon de désir… La seule chose qui résonnait à présent dans mon esprit était « Je te veux ! »… Alors je fermais les yeux et me laissait aller lorsque ses mains se mirent à parcourir mon corps… Ma respiration se saccada lorsqu’il se mit à m’embrasser dans le cou… Et je gémis doucement lorsque je sentis la bosse dans son pantalon qui se frottait contre mes fesses…

Je ne l’ai peut-être pas précisé mais nous étions en plein mois d’août et il faisait chaud… Je portais une petite robe grise à bretelles fines dans un tissu très léger… Celle-ci s’arrêtait mi-cuisse… Pierre, lui, portait un pantalon en lin blanc accompagné de sa chemise ce qui le rendait très élégant comme toujours… Enfin, autant vous dire qu’il n’y avait pas grosse épaisseur de tissu entre nous deux ! Donc, même à travers nos vêtements respectifs, nous ressentions les caresses comme si elles avaient été faites à même la peau…

Pierre me connaissait par cœur, il savait tout de mes désirs… Ce qui me faisait particulièrement mouiller ou ce qui me faisait gémir… Il savait y faire ! Alors qu’il jouait de sa main gauche avec mes tétons… Je sentis sa main droite descendre jusqu'à mes cuisses… La deuxième vint l’y rejoindre… Ayant l’intérieur des cuisses très sensibles j’eus du mal à rester concentrée… Il remontait lentement ma robe jusqu'à ma taille et avait ainsi tout le loisir de m’admirer… Ses mains étaient si douces ! Elles me promettaient d’intenses moments…

Il caressa mes fesses alors que je me cambrais au maximum… Il avait l’air très excité par le petit string rouge que je portais…De mon côté j’avais peur de me transformer en fontaine… Le pire était de sentir les soubresauts de son sexe entre mes fesses… Il devenait de plus en plus dur…

Je voulais me retourner afin de me retrouver face à lui mais il avait l’air d’apprécier le fait que je lui sois entièrement soumise… Je devais juste être patiente car mon tour viendrait… En attendait je voulais mieux le sentir… Alors je m’appuyais sur lui et remuait les fesses du mieux que je pouvais afin de l’exciter davantage… Peut-être qu’il craquerait et me prendrait là maintenant, sur place… Non ! je le connaissais trop bien… Il savait se maîtriser mieux que personne… Ce n’était pas si facile de le faire craquer…Peut-être que si je lui demandais gentiment…


« Humm… Oh, Pierre…
- Tu es toujours aussi belle ma chérie…
-
- Et toi tu sais toujours t’y prendre… Je mouille tellement… J’ai envie que tu me prennes de suite, là dans la cuisine…
-
- Je vois que ta patience ne s’est pas améliorée…
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- A qui la faute ? Tu me donnes trop envie… Et là crois-moi tu serais bien, planté en moi car je mouille bien… Cela glisserait tout seul… Tu n’en as pas envie… ?
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- Oh que si ! Mais laisse-moi te torturer encore un peu… »


Je le sentis dans mon dos qui se déshabillait… J’allais enfin être comblée par son énorme queue car croyez-moi, Pierre a été gâté par la nature aussi bien en terme de longueur que de largeur… Il retira mon string avec précaution… et revint se coller derrière moi… Je sentais son chibre chaud qui bouillonnait de plaisir… et je le voulais en moi… Il l’abaissa pour pouvoir la faire glisser entre mes deux cuisses…

Il avait tout le loisir de caresser ma chatte, de se frotter à elle, de s’enduire de ma mouille… Je le voulais !! Cela devenait insoutenable, alors il exauça mon vœu… Là, debout devant l’évier dans la cuisine… il centra sa queue sur mes lèvres et poussant tout doucement… Je me sentais écartée… C’était si bon… si jouissif !

Il me pénétra d’environs cinq centimètres Mais pas plus… faisant des aller-retour afin de bien me tenir m’écarter… Je voulais qu’il accélère et qu’il s’enfonce bien profondément en moi car je ne suis pas patiente, surtout quand je suis excitée… Ce petit jeu dura quinze bonnes minutes… Autant vous dire que je n’en pouvais plus ! J’étais sur le point d’exploser… Je voulais que l’on jouisse ensemble… Je ne sais pas ce que ressentait Pierre à ce moment… Avait-il comme moi, du mal à se retenir ? Ou était-il prêt à me torturer toute la nuit ? Je verrais bien… Nous avions déjà fait l’amour plus d’une fois dans la même nuit… Pierre était vigoureux, très vigoureux même !


« Viens, retourne-toi… Assieds-toi sur le plan de travail… »


Je m’exécutais alors sans mot dire… Il m’écarta les cuisses et me pénétra de nouveau tout en m’embrassant…Je pus mettre mes bras autour de son cou et l’embrasser autant que je voulais pendant qu’il me faisait l’amour car par chance le plan de travail était pile à la bonne hauteur… Pierre n’avait pas besoin de plier de plier les genoux ou encore de se tenir sur la pointe des pieds… C’était juste parfait… Nous nous regardions dans les yeux… Cela rendait l’acte encore plus délicieux… Mais il s’en tenait au cinq centimètres de pénétration… Quelle torture !


« Pierre, je te veux bien profondément…
- Quelle gourmande ! Nous avons le temps pour ça tu sais ? Car je n’en ai pas encore fini avec toi…
-
- Justement… Viens, jouis avec moi ! Enfonce-toi, accélère,…Je veux entendre le bruit sourd provoqué par le choc de nos deux corps comme lorsque tu me prenais comme un forcené… Te souviens-tu ? »


Je l’avais touché… Il se souvenait parfaitement et je lui avais donné envie de recommencer… Allait-il seulement le faire ?


« Alors tu es sûr de toi ?
- Oui c’est ce que je veux ! Ne sois pas si tendre… Nous aurons tout le temps pour ça plus tard… L’heure est à la jouissance… Défoule-toi… Laisse sortir la bête qui est en toi… Déchaîne-toi !
-
- Tu sais bien ce qui finit par arriver lorsque la bête se réveille… Mais tant pis pour toi… Tu l’auras voulu… »


J’esquissai un sourire… Il avait enfin cédé… Mais ce sourire fit place à une grimace qui me déforma la bouche lorsque j’émis un cri de plaisir… Il s’était enfoncé en moi d’un coup sec, jusqu’à la garde ! Rien que ce coup, m’assomma… Une telle quantité de plaisir dans un moment si bref ! J’avais envie de l’insulter à cause de la surprise mais c’était tellement bon… La suite fut cataclysmique… Je ne reconnais presque plus le Pierre si doux avec qui j’avais pris un cappuccino… Je l’entendais ahaner pendant qu’il me besognait comme un animal… De mon côté je ne pouvais me retenir de hurler tant le plaisir était intense… J’avais l’impression que mon cœur allait s’arrêter de battre… Pourtant je l’encourageais à aller plus vite, plus fort, encore et encore… Je me sentais au bord du précipice, je m’en approchais dangereusement...

« Pierre… Pierre… je… Je vais jouiiiiir !
- Hum… Oui… vas-y jouis… Je viens aussi… »


Nos cris se mêlèrent l’un à l’autre lorsque je me sentis violemment jetée dans ce précipice nommé jouissance… Je tombais encore et encore dans ce puits qui n’avait pas l’air d’avoir de fond au fur et à mesure des giclées de sperme que je sentais au fond de moi… La tempête se calmait peu à peu… Et Pierre se retira doucement… Mais je n’osais bouger de peur que le sol se dérobe sous mes pieds… Pierre me prit alors dans ses bras… Qu’allait-il se passer maintenant ?


« Pierre ?
- Oui ?
-
- Reste avec moi... Passe le week-end avec moi… J’ai encore besoin de toi…
-
- Je vais essayer de m’arranger… J’avais déjà prévu des choses mais je vais essayer…
-
- Merci… »


Je ne pouvais toujours pas bouger tant mes jambes flageolaient alors Pierre me porta jusque dans ma chambre et il m’allongea sur le lit… Je l’invitais à me rejoindre mais il avait l’air hésitant… Oh non ! Regrettait-il déjà ? je n’aurais pas dû ! Je savais que cela finirait comme ça… Je sentais les larmes me monter aux yeux… Puis il me regarda l’air triste…


« Est-ce que ça va ?
- Quelle question ! Je ne pourrais aller mieux…
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- Ne mens pas ! As-tu mal quelque part ?
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- Mais non ! Qu’est ce qui te prend ? Je n’ai mal nulle part… Au contraire tu m’as fait beaucoup de bien…
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- Jure-moi que tout va bien…
-
- Je te le jure… »


Son visage se détendit et il vint alors s’installer à mes côtés…


« Je croyais t’avoir blessé… J’y suis allé un peu fort et vu l’état dans lequel tu es…
- Mon corps réagit bizarrement je l’avoue… Mais je te promets que tout va bien ! C’était si bon, si intense !!! J’ai hâte de recommencer ! Mais… enfin on peut y aller doucement… J’aime quand tu es doux aussi tu sais… Je me suis laissé emporter… J’étais en manque, pleine de colère et de tristesse… Cela m’a permis de me défouler ! Alors je t’ai un peu provoqué… Je ne le ferai plus… pardonne-moi…
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- J’ai vraiment eu peur de t’avoir du mal… et si ça arrivait je m’en voudrais énormément…
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- Pourquoi as-tu si peur de me faire mal ? Ce n’est jamais arrivé pourtant… Je sais que tu as été gâté par la nature mais de là à me blesser…
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- On ne sait jamais… Je me suis senti… incontrôlable ! enfin tu vas bien et c’est l’essentiel ! Alors concentrons-nous sur ce week-end ? Que voudrais-tu que l’on fasse ?
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- Je ne sais pas… Que peut-on-faire ?
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- Absolument tout ! Tout ce que tu désires…
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- Alors quelque chose qui nous permettrait de nous détendre … Il fait chaud alors quelque chose de rafraîchissant… Mais sans trop de bruit… Un truc calme… On pourrait d’ailleurs tout simplement rester ici, chez moi… A moins que tu aies une autre idée ?
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- ………………………………..
- (Des idées ! avec toi c’est facile d’en avoir, ma Lola, tu es si désirable, si ardente ; tu es belle et quand tu jouis ton visage, ton corps rayonne. Tu parles de calme, de sérénité, j’ai toujours en mémoire la nuit que nous avons passée à Cannes quand j’ai du te prendre dans mes bras, pour te réchauffer, pour te réconforter. J’étais heureux de le faire sans abuser de toi, de ce moment de faiblesse. Tu vois chérie je pourrais encore passer une nuit comme celle là à te tenir simplement dans mes bras.)


Manifestement, Pierre avait des idées


(« Rassure toi ma Baby, je suis heureux de rester cette nuit prés de toi, depuis notre séparation j’en ai tellement rêvé et quand je t’ai vue errer dans la rue cette nuit, j’ai eu envie de te protéger et un espoir fou m’a envahi, celui de faire vibrer ton corps, ton corps qui m’excite tant »)


« C’est vrai, tu me désires encore ? »
« Je suis fou de toi ma chérie! »
 (Pierre le Grand)